EN QUETE DE SENS

UNE PATHOLOGIE OU UNE MALADIE

« j’ai attrapé une maladie »

« une saloperie m’est tombée dessus »

« je n’y suis pour rien, c’est la faute à pas de chance ».

OU DES BLOCAGES POUR D’AUTRES

« Comment il arrive que des personnes puissent forfaire leur vie et devenir esclaves des pathologies/maladies et blocages qui les pénalisent à chaque fois dans leur évolution de vie ».

LA REFLEXION JUSTE

« Comment il arrive que des personnes puissent forfaire leur vie et devenir esclaves des pathologies/maladies et blocages qui les pénalisent à chaque fois dans leur évolution de vie ».

Dans le jargon populaire, bien souvent on va dire « j’ai attrapé une maladie », ce qui signifierai  que la maladie peut s’attraper ! Avec une épuisette ? Ou alors « une saloperie m’est tombée dessus », et donc quelque chose venant de l’extérieur et par le plus grand des hasards s’est installée dans notre corps. 

Ce genre de réflexion amène à deux constats :

  • Le 1er constat est que « je n’y suis pour rien, c’est la faute à pas de chance ». Ce qui induit qu’on n’est pas responsable de ce qui nous arrive, c’est une saleté de l’extérieur qui est venue envahir notre corps sain et qu’il nous faut faire le nécessaire dans les meilleurs délais pour l’évacuer. 
  • Le 2ème constat est que l’on va consulter en s’imaginant que la solution ne peut qu’être d’ordre pharmaceutique, c’est la guerre contre l’intrus qu’il faut absolument éliminer. 

C’est ainsi, hélas, qu’on se retrouve quotidiennement avec un pilulier pour faire la guerre à telle et telle pathologie pendant des années durant sans se poser aucune question sur SOI-même. C’est avant tout et surtout pratique pour notre mental, mais oh combien destructeur pour notre corps organique divin. 

Nous nous dessaisissons de notre corps en nous comportant en victime de ce qui nous arrive, plutôt que se responsabiliser face à une pathologie/maladie. Nous ne respectons pas la génialité de nos organes et les sens qu’ils évoquent. Nous ne sommes pas à l’écoute des messages qu’ils veulent bien nous transmettre. Là est la merveille de notre corps humain et divin.

Nous, êtres humains, nous sommes entourés de merveilles sans avoir les capacités de se projeter dans l’émerveillement de tout qui nous entoure. C’est bien là notre problématique de fond, parce-que l’état de qui nous sommes va déterminer fortement le potentiel de notre système immunitaire ainsi que la circulation des fluides, pour une bonne santé.

C’est la dualité entre notre MOI-même et notre SOI-même, qui fait que nous sommes très souvent scindés en 2 parties divergentes, faites trop souvent d’émotion, de rancoeur et de colère.

  • le MOI-même étant le chemin que l’on décide de prendre arbitrairement, 
  • le SOI-même étant la destination qu’il nous faudrait rejoindre pour accéder au plan de ce que nous sommes réellement.

Là est le ministère de notre santé qui gère les fluides humains.

Nous humains sur cette Terre,

  • si nous ignorons l’histoire de la vie humaine et toute sa biologie, 
  • si nous ignorons l’évolution des espèces sur cette Terre, 
  • si nous ignorons les liens entre les générations, les générateurs et les générés, 
  • si nous ignorons également l’intelligence de notre corps-âme-Esprit, 

alors nous perdons notre ressemblance à notre image divine. 

L’humain a été fait à l’image et à la ressemblance du divin :

  • l’image est la structure essentielle de l’être humain – le SOI-même, 
  • la ressemblance est l’ensemble des fonctions ou structure fonctionnelle – le MOI-même. 

L’homme possède :

  • dans l’image la liberté de l’arbitre, 
  • et dans la ressemblance ses vertus. 

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